Adaptées à une utilisation à la chaîne des toilettes, les chasses directes limitent les risques de fuites et de légionelles, ainsi que le bruit et l’encombrement, cochant toutes les cases s’agissant des sanitaires publics. A tel point que l’on se demande pourquoi elles ne les équipent pas tous ! Publi-Info.
Les chasses directes efficaces même en cas de forte affluence
Qu’est-ce qui « coince » dans les toilettes publiques en cas de forte affluence ? Le réservoir de chasse n’a pas le temps de se remplir entre deux utilisations et les cuvettes ne sont plus ou mal rincées et sont rapidement souillées. Avec une chasse directe, qui utilise la pression du réseau et garantit un rinçage efficace, il n’y a pas d’attente liée au remplissage et la propreté de la cuvette est assurée, en une seule chasse. Les utilisateurs peuvent se succéder à un rythme soutenu, la chasse reste disponible à tout instant.
Pas de réservoir de chasse, pas d’eau stagnante !
L’eau qui stagne dans le réservoir de chasse des toilettes est à température ambiante, et il est de plus en plus fréquent que celle-ci dépasse 30 °C en été. Or, on sait que les légionelles prolifèrent dès 23-25 °C et qu’une contamination est possible lors de la chasse d’eau, par projection des bactéries dans l’air ambiant. Ce risque devient nul avec une chasse directe, puisqu’il n’y a pas de réservoir.
Des risques de fuites pratiquement inexistants avec les chasses directes
Immergé dans le réservoir de chasse, fragilisé par un usage souvent intensif, le mécanisme est aussi soumis à l’épreuve du calcaire et des impuretés. Le joint de cloche en particulier, durci par le temps et le tartre, finit par ne plus jouer correctement son rôle. La fuite survient alors, qui n’est pas toujours visible à l’œil. Un risque qui peut coûter cher, sachant qu’un écoulement non détecté entraîne une surconsommation d’eau d’environ 25 litres par heure, soit 600 litres par jour et près de 19 m³ par mois, soit 220 m³ par an, selon le Centre d’information de l’eau. De plus, la maintenance s’avère sinon compliquée du moins chronophage, donc onéreuse, notamment lorsque le mécanisme est encastré dans le réservoir du bâti-support.
Moins de bruit et plus de place
Une chasse directe dure quelques secondes, tandis qu’un réservoir se remplit en 40 secondes, voire jusqu’à une minute pour certains d’entre eux. Dans les bureaux et les établissements de santé mais surtout dans les hôtels, ce rinçage court est un avantage en termes de confort. De plus, l’absence de réservoir permet de libérer environ dix centimètres de profondeur dans les toilettes, qui sont autant de gagné sur la surface utile des sanitaires.
Une mise en œuvre possible même en rénovation et un surcoût limité

La chasse directe selon Delabie

Design, le Tempomatic bicommande, dernier-né de la gamme électronique encastrée (photo), permet un rinçage hygiénique automatique toutes les 24 heures. Il est associé au nouveau boîtier d’encastrement Delabie, étanche et permettant tous les types de pose.
Tempoflux 3, dernier-né de la gamme temporisée, est un robinet encastré à double chasse 3/6 litres, ajustable à 2/4 litres, et à déclenchement souple. Il dispose d’un système antiblocage (l’écoulement ne se produit que lorsque le bouton est relâché) et est garanti 10 ans. Il permet d’accéder aux meilleurs niveaux des labels HQE, Breeam, Leed…
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Des risques de fuites pratiquement inexistants avec les chasses directes






















