SdbPro.fr, le fil d'info en continu des professionnels de la salle de bains.

Logo Sdbpro.fr
Roth Vipanel
  • Accueil
  • Actualité
    • Evénements/salons
    • Etudes/sondages
    • Autour du bain
    • 3D Cup Agenceur du Bain
  • Produits
    • Guides d’achat
    • Douche
    • Salles de bains complètes
    • Point d’eau
    • Robinetterie, hydrothérapie
    • Toilettes
    • Baignoire
    • Collectivités
    • Outillage
    • Radiateurs sèche-serviettes
    • Revêtements, carrelage sol et murs
    • Accessibilité
    • Autres produits
  • Technique
    • Mise en œuvre
    • Initiatives
    • Aide à la vente
    • Réglementation
  • Distribution
  • Industrie
    • Stratégie Résultats
    • Fabriquer en France
    • Industrie sanitaire en cartes et tableaux
    • Usines / Production
  • Eco circulaire
  • Marché
  • Tendances
  • Design
  • Publi-Info
Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Actualité
    • Evénements/salons
    • Etudes/sondages
    • Autour du bain
    • 3D Cup Agenceur du Bain
  • Produits
    • Guides d’achat
    • Douche
    • Salles de bains complètes
    • Point d’eau
    • Robinetterie, hydrothérapie
    • Toilettes
    • Baignoire
    • Collectivités
    • Outillage
    • Radiateurs sèche-serviettes
    • Revêtements, carrelage sol et murs
    • Accessibilité
    • Autres produits
  • Technique
    • Mise en œuvre
    • Initiatives
    • Aide à la vente
    • Réglementation
  • Distribution
  • Industrie
    • Stratégie Résultats
    • Fabriquer en France
    • Industrie sanitaire en cartes et tableaux
    • Usines / Production
  • Eco circulaire
  • Marché
  • Tendances
  • Design
  • Publi-Info
Pas de résultat
Voir tous les résultats
Logo Sdbpro.fr
Pas de résultat
Voir tous les résultats

Accueil » Design » Andrée Putman : une grande dame du design sur l’échiquier de la salle de bains

Andrée Putman : une grande dame du design sur l’échiquier de la salle de bains

Claudine Penou par  Claudine Penou  — le 1 décembre 2025 à 15h11
— dans Design
Andrée Putman et le carrelage en damier de l'hôtel Morgans.

Andrée Putman (photo Xavier Bejot Tripod Agency) – Carrelage en damier de l'hôtel Morgans (photo Deidi Von Schaewe).

Partager sur FacebookPartager sur Twitter

Andrée Putman (1925-2013) a 53 ans lorsqu’elle embrasse la carrière d’architecte d’intérieur qui fera d’elle une icône du goût français. Du damier noir et blanc devenu son emblème stylistique aux créations qui portent sa signature en tant que designer, la salle de bains fut son laboratoire : un territoire d’expression à part entière, celui de la modernité.

Ne cachant pas son admiration pour celle, « inégalée », qu’il a sacralisée « grande prêtresse », Philippe Starck prévient : « Avant de parler de son style, il faut parler d’elle. » [1] La vision avant-gardiste d’Andrée Putman, née en 1925 comme l’Art déco, se forge dès l’enfance, dans la haute bourgeoisie parisienne [2]. Chaque été, sa famille passe les vacances à l’abbaye cistercienne de Fontenay. Sa grand-mère est une descendante des frères Montgolfier dont cet insolite lieu de villégiature abritait les ateliers, au XVIIIe siècle… Entre ses murs austères, elle dit avoir appris « bien des choses sur le vide », expérimentant « les jeux de pierre et de lumière, l’incroyable richesse et diversité des non-couleurs. » De ces bâtiments dépouillés de tout ornement, elle expliquera « avoir gardé la plus grande méfiance à l’égard des affreux excès de surenchère. » La confrontation avec l’immensité de cet ensemble monastique a probablement nourri son goût pour l’épure, exprimé de façon radicale : « Je hais le luxe pompeux. Je m’intéresse à l’essentiel, à la structure, aux éléments fondamentaux des choses. »

Des touches du piano à l’iconique damier

La musique apparaît comme une seconde clé de voûte de son édifice personnel. Reçu à dix-neuf ans, le Premier prix d’Harmonie au Conservatoire de Paris met paradoxalement fin à son projet de vie initial : en lui remettant cette distinction, Francis Poulenc lui a asséné un commentaire acerbe sur le long chemin de labeur lui restant à parcourir avant de pouvoir oser prétendre au statut suprême de compositeur… Ses espoirs sont douchés. Elle renonce à sa vocation et au piano. Les touches du clavier sur lesquelles elle s’est exercée auraient-elles à voir avec ses compositions graphiques en noir et blanc, cette gamme chromatique devenant sa marque de fabrique ? A les voir rythmer les sols, les murs…, créant d’élégantes tensions visuelles sans multiplier les couleurs, l’analogie nous saute aux yeux.

Une figure libre, hors des sentiers battus

Andrée Putman suit d’autres partitions, résolue à trouver son propre chemin, hors des sentiers battus : « Ne pas oser, c’est déjà perdre. Réjouissons-nous de tout projet ambitieux, voire utopique, car les choses ne bougent que si l’on rêve. » Devenue journaliste dans les années 1960, elle collabore pour le magazine Elle et L’Œil, revue d’art dont la ligne éditoriale ne couvrent pas seulement les beaux-arts, s’ouvrant à la décoration d’intérieur et au design. Des positions idéales pour voir et faire émerger les tendances… Saluant son flair, la styliste Denise Fayolle (1923-1995) l’embauche dans l’équipe chargée de développer la nouvelle stratégie anticonformiste de Prisunic, qui entend démocratiser le design en offrant « le beau au prix du laid ». Elle intègre son agence Mafia (conseils en communication et publicité) puis rejoint, en qualité de directrice artistique, la plateforme Créateurs et Industriels, qui accueillera le premier défilé de jeunes stylistes d’avenir avant qu’ils ne fondent leur propre maison : Claude Montana, Issey Miyake, Jean-Charles de Castelbajac, Thierry Mugler…

Entre mémoire et modernité intemporelle

En phase avec les tendances de son époque, Andrée Putman fait sienne la définition de Baudelaire selon laquelle la modernité serait une manière de « revoir autrement » le passé plutôt que sa négation. Après avoir divorcé, elle change de vie sans perdre ce cap et fonde à Paris, en 1978, le bien-nommé studio Ecart, dont le nom, lu de gauche à droite, devient Trace, qui résonne comme une maxime. Appelant à une « archéologie de la modernité », sa société (Ecart International), contribue alors à remettre en lumière de grandes figures oubliées des art décoratifs des années 1930, pour « les aider à renaître ». Sans nostalgie et à contre-courant de l’exubérance des années 1980, elle se focalise sur « les choses qui ne vieillissent pas » avec la réédition de meubles, lampes, tapis ou objets à l’élégance feutrée signés Robert Mallet-Stevens, Pierre Chareau ou Eileen Gray. Cette démarche préfigure le lancement de ses propres créations, remettant au gout du jour l’Art déco avant de dépoussiérer le chic parisien. Le second axe de sa société est l’architecture intérieure. Au travers de cette activité, celle qui, depuis sa rupture, vit à Saint-Germain-des-près dans une ancienne imprimerie transformée en loft (une typologie d’habitat alors inédite en France), commence à imposer son esthétique épurée, équilibrée, celle d’une maison hors du temps et de la mode, cette « goutte de poison ». 

Le décor pionnier et fondateur du Morgans

Une salle de bains Andrée Putman, avec son revêtement en damier noir et blanc.Alors qu’elle vient d’aménager le bureau de Jack Lang, rue de Valois, c’est l’Amérique qui lui ouvre les portes de la gloire l’année suivante, en 1984. A New York, sur la très huppée Madisson Avenue, l’hôtel Morgans qu’elle rénove bouleverse les codes. Exit l’ostentatoire : le décor sobre va à l’essentiel, sans marbre, ni dorures. Sa French Touch fait immédiatement mouche ! Pour livrer cet établissement de grand standing, les délais de réalisation sont courts et le budget incompressible. Celle qui préfère s’intéresser « à la charpente, à la colonne vertébrale des choses » ose alors miser sur une économie de moyens…, tout en maximisant les effets. « Le luxe pompeux est une chose polluante » qu’elle a en horreur, tout comme la froideur du minimalisme « qui vous donne l’impression d’être dans un réfrigérateur. » L’architecte d’intérieur créé au contraire un lieu intime qui symbolise le renouveau du luxe, inventant au passage le concept plus feutré, plus humain, de boutique-hôtel. Mosaïque Bisazza en bleu et gris, signée Andrée Putman.Dans les salles de bains, le revêtement en damier noir et blanc (en photo ci-contre) repose sur un calepinage simplissime, fait de carreaux Métro bon marché ! Leur géométrie rythmée devient vite sa signature, maintes fois déclinée par la suite, les projets hôteliers se multipliant dès lors, à l’international comme en France… Pour un supplément d’âme, elle se sert aussi de la lumière, avec « des éclairages qui habitent la pièce plus qu’ils ne l’habillent ». Des reflets animant les tesselles de verre dans des camaïeux toujours neutres (gris, noir), la mosaïque fera aussi partie des éléments forts du style Putman, dont les collections définies pour Bisazza (Alternance et Vibration, enrichie d’une version Bleue inédite en 2026 en photo ci-contre).

La griffe Putman dans la salle de bains

Le décor pionnier du Morgans a illico contribué à sortir la salle de bains de ses ornières hygiénistes. Andrée Putman, amoureuse du beau « et plus encore, le beau dans l’utile », en ayant fait d’emblée l’un des territoires d’expression de son style décalé, est placée au centre de toutes les attentions, appelée à jouer un rôle majeur dans l’expérience hôtelière [3]. En 2002, pour l’ensemble de ses réalisations, le Prix de la salle de bains d’hôtel lui sera d’ailleurs remis sur le salon Idéobain. Pour expliquer son attrait, Andrée Putman évoquait « une pièce à se ressourcer. J’y suis attirée parce que c’est ce dont on a le plus besoin aujourd’hui : soins de soi, calme, temps pour soi. »

Signés Andrée Putman, les points d'eau Morgans de Rapsel en acier chromé.Ses agencements partent d’un constat pour formuler (et répondre !) à une question qui ne se posait guère avant elle : « Il ne s’agit pas de se baigner dans son salon, de jouer au chef dans sa chambre à coucher, mais plutôt d’ouvrir les espaces à des occupations diverses, à des lieux flexibles. Pourquoi les espaces seraient-ils accaparés par une fonction plutôt que de favoriser les sensations qu’ils nous offrent ? ». Traitées comme des espaces non seulement pratiques, mais aussi capables de mettre en éveil les sens, les salles de bains de l’hôtel Morgans sont équipées de points d’eaux en acier chromé qui, par leur silhouette filiforme, ont des allures de totems, nous évoquant le mobilier de l’Orient-express ou des cabines premium sur les paquebots transatlantiques. Par leur forme discrète et leur finition intemporelle, ils sont les héritiers des ensembliers des années 1920 réédités par Ecart. Comme les accessoires et le mélangeur mural, ils entreront au catalogue Rapsel dès 1985 (et font toujours partie des éditions dites exclusives), rassemblés dans une collection-phare du nom de l’hôtel originel : Morgans [4] (en photo ci-contre).

Des globes supportant la baignoire

La baignoire rétro d'Andrée Putman et ses quatre pieds boules.Troquant les pattes de lion contre d’imposantes boules, Andrée Putman a également actualisé l’archétype de la baignoire îlot. Un pied-de-nez aux conventions ! Bien qu’il n’ait pas été produit en série, ce modèle à pieds sphériques (en photo ci-contre) distingue une dizaine de ses projets, résidentiels et hôteliers [5], installant souvent un jeu de correspondance formelle avec les poignées de la porte de la salle de bains, elles aussi globulaires, telles des boules d’escalier. Le Miroir Satellite de Eileen Gray, réédité par Andrée PutmanUne correspondance qui fonctionne aussi avec l’emblématique Miroir Satellite de Eileen Gray (en photo ci-contre). Conçu vers 1927 pour la Villa E-1027 à Roquebrune-Cap-Martin et réédité par Ecart, celui-ci trouvera place dans bien des intérieurs et salles de bains imaginés par André Putman, à commencer, en 1982, par celle de l’appartement romain de Karl Lagerfeld.

Vues de face et de dessus de la baignoire la baignoire îlot Oval dessinée pour Hoesch par Andrée Putman.Ces formes douces et arrondies se retrouvent aussi dans la baignoire îlot Oval dessinée pour Hoesch, iF Design Award en 2004 dont les confortables dimensions (190 x 100 cm) la destinent à un bain à deux (en photo ci-contre). Dans sa version encastrée, ce modèle en acrylique figure toujours au catalogue du fabricant, qui fait valoir que « pour Andrée Putman la salle de bains est un espace de liberté, de régénération et de joie de vivre. Cette grande créatrice française met cette façon de voir les choses en œuvre de manière absolument étonnante. » En témoigne le rebord plat qui ourle sa cuve-cocon dont le design, square round bien avant l’heure, s’inscrit l’une de ses professions de foi : « Réaliser un travail qui ne date pas. C’est la chose la plus mystérieuse de la terre, une vision nouvelle. »

La robinetterie, legs d’un atelier vivant

Les robinetteries O et Métamorphose de THG, signées par le Studio Putman.Fondé en 1997, le Studio Putman se consacre à l’architecture intérieure, design et scénographie. En 2007, Olivia Putman le rejoint à la demande de sa mère, qui lui confie la directrice artistique. Elle assurera la continuité de l’œuvre d’Andrée Putman à sa mort, en 2013. Dans le registre de la robinetterie, deux collaborations avec THG voient le jour. Dix ans après l’anneau dessiné pour Christofle en 2002, la collection O en offre une revisite, dans une poignée-bague oblongue. En 2015, Métamorphose, caractérisée par l’évolution subtile des lignes passant du rond au carré, se distingue par l’insertion, inédite, de fibres de carbone de ses manettes ou de céramique blanche ou noire (en photo ci-contre).

En 2025, un nouveau chapitre de l’histoire s’ouvre, qui assure la continuité de l’œuvre d’Andrée Putman : célébrant le centenaire de sa fondatrice, le studio éponyme, dont Olivia Putman demeure la directrice artistique, vient d’être repris par Aurélie Laure, une ancienne collaboratrice. Suivront, avec l’ouverture en janvier 2026 d’un showroom, le développement de nouveaux projets d’architecture d’intérieur et la réédition du mobilier iconique d’Andrée Putman, dont la fameuse baignoire à pieds boule.

[1] Andrée Putman, la grande dame du design, documentaire de Saléha Gherdane (2022).
[2] Son grand-père paternel a fondé une banque lyonnaise qui fusionnera avec d’autres pour créer le Crédit commercial de France. Sa grand-mère est une descendante des frères Montgolfier, inventeurs du premier ballon à air chaud. Son père, normalien, est écrivain. Sa mère, concertiste, est la fille d’une femme de lettres, la petite fille d’un académicien…
[3] En 2023, Bob Carrelage fournissant les matériaux et assurant la pose, une reconstitution de l’iconique salle de bains de l’hôtel Morgans était donnée à voir à la Fondation CAB de Saint-Paul de Vence : Andrée Putman et les créateurs du Mouvement Moderne, exposition hors les murs de la Villa Noailles, à la Fondation CAB de Saint-Paul de Vence, du 22 mars au 31 octobre 2023.
[4] Distribuée en France par Sopha Industries.
[5] Sa baignoire à pieds boule est notamment visible dans : The Pillow Book (1995), film réalisé par Peter Greenaway et dont Andrée Putman a pensé les décors – Hôtel Ritz-Carlton, Wolfsburg (2000) – Hôtel Pershing Hall, Paris (2001) – Villa, Tanger (2007) – Penthouse, Miami Beach (2008) – Palais Can Faustino, Minorque (2014).

Marianne Tournier

Claudine Penou

Claudine Penou, journaliste professionnelle, travaille depuis plus de 20 ans en presse écrite (professionnelle et grand public), développant en parallèle des activités dans l’édition et la communication.... [...]

Abonnement à la newsletter de Sdbpro.fr Abonnement à la newsletter de Sdbpro.fr Abonnement à la newsletter de Sdbpro.fr

Informations complémentaires sur cet article

Autres Articles

Baignoire escamotable, qui se transforme en douche.
Design

Une baignoire escamotable, pour combiner bain et douche en un seul lieu

Le motif quadrilobe décliné dans divers produits de salle de bains
Design

Design : le quadrilobe, une fenêtre sur le passé et le sacré

La machine à laver le corps, en forme de cockpit ovoïde, de Science Co.
Design

A l’Exposition universelle 2025, le retour de la machine à laver le corps

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

J'accepte les conditions de la politique de confidentialité.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Ideal Standard Ultra falt S i life

Geberit Duofix4

Ronal Solino

Pas de résultat
Voir tous les résultats

Schulte douche

Valentin capot doré bonde minime

Hansgrohe Activera S
Abonnez-vous à la newsletter de Sdbpro.fr

SDBPRO.fr

Après Stylesdebain.fr, site Internet qui aborde la salle de bains du point de vue de l’agencement et de la décoration, voici SdbPro.fr, dédié aux professionnels de l’univers du bain et des toilettes : fabricants, distributeurs, installateurs, bainistes, architectes…
Sur Sdbpro.fr, chaque acteur de la filière sanitaire est en contact avec son métier et peut en suivre l’actualité, ainsi que celle des autres intervenants du marché de la salle de bains : nouveaux produits, règles de l’art, norme et réglementation, mise en œuvre, marché, aide à la vente, distribution, concurrence…
Parce que la salle de bains n’est pas une pièce comme les autres, elle mérite un traitement à part, que lui réserve SdbPro.fr.

Derniers articles
Andrée Putman et le carrelage en damier de l'hôtel Morgans.
Andrée Putman : une grande dame du design sur l’échiquier de la salle de bains

Intérieur du showroom Trone à Paris.
Trone cultive sa niche et, après les toilettes, investit la salle de bains

Tendances Marché et production salle de bains en 2025 en Allemagne
Les fabricants allemands de la salle de bains retrouvent un brin d’optimisme

Portrait de Abdallah Sabbagh, DG de Condor
« Fabriquer en France est un entêtement, une aberration économique »

Derniers produits
Un installateur présente les tubes et raccords PVC+ de Wavin
PVC+ de Wavin : trois innovations pour faciliter le travail des installateurs

Système d'évacuation du receveur de douche Kinediva de Kinedo
Receveur Kinediva de Kinedo : une zone centrale « pieds secs »

Mitigeur Celeste de Trone
Mitigeur Celeste de Trone : un sculptural disque d’inox en guise de corps

Les robinets de la collection Ennio de Stella, aux corps et manettes cannelés
Robinetterie Ennio de Stella : cannelée, elle existe aussi en version électronique

C'est gratuit !
newsletter Sdbpro.fr Restez dans le bain Abonnement
newsletter
  • Accueil
  • A propos
  • Contact
  • Mentions légales
  • Politique relative aux cookies
  • Abonnement newsletter

Copyright ©2024 Sdbpro.fr – Site développé par www.seedcom.fr

Pas de résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Actualité
    • Evénements/salons
    • Etudes/sondages
    • Autour du bain
  • Produits
    • Guides d’achat
    • Douche
    • Salles de bains complètes
    • Point d’eau
    • Robinetterie, hydrothérapie
    • Toilettes
    • Baignoire
    • Collectivités
    • Outillage
    • Radiateurs sèche-serviettes
    • Revêtements, carrelage sol et murs
    • Accessibilité
    • Autres produits
  • Eco circulaire
  • Technique
    • Mise en œuvre
    • Initiatives
    • Aide à la vente
    • Réglementation
  • Distribution
  • Industrie
    • Stratégie Résultats
    • Fabriquer en France
    • Industrie du sanitaire en cartes et tableaux
    • Usines / Production
  • Marché
  • Tendances
  • Design
  • Publi-Info
  • Abonnement Newsletter

Copyright ©2024 Sdbpro.fr – Site développé par www.seedcom.fr